Américaine, Jen Stark naît en Floride en 1983. De son enfance nous connaissons peu de chose, de son œuvre en revanche, nous pouvons dire beaucoup. Depuis ses études au Maryland Institute College of Art d’où elle sort diplômée en 2005, Jen Stark ne cesse de créer. Un travail conceptuel, coloré, empreint de nature et de sacré au cours duquel elle explore les thèmes de réplication et d’infini. Connue initialement pour ses sculptures en papier, elle explore une variété de supports, notamment le bois, le métal, la peinture, le plexi et aujourd’hui l’animation.

L’art de Jen Stark élabore un système de visuels ayant trait à la nature et à sa croissance, à l’évolution, l’infini, les fractales, mais aussi aux topographies mimétiques et aux géométries 35 sacrées. Des thèmes qui placent ses œuvres sur un subtil fil entre séduction optique et engagement perceptuel. Des œuvres qui justement prennent des allures de nuages, de traces de mandalas ou de nautilus, pour mieux révéler sous des formes géométriques, ce côté spirituel que J. Starck souhaite leur donner.

Au cours des 20 dernières années, Stark a exposé dans le monde entier, notamment à New York, Los Angeles, Miami, Chicago, en Thaïlande et au Canada. Récemment incluse dans le « NFT’s 50 » de Fortune, Stark est entrée dans l’histoire en devenant la première femme artiste à figurer dans le top 10 des créatifs NFT les plus vendus de la Fondation. Ses œuvres font partie des collections du Smithsonian American Art Museum, de la West Collection, du Crystal Bridges Museum of American Art, du NSU Art Museum et du MOCA Miami, entre autres.