Artiste numérique et avant-gardiste, Marjan Moghaddam explore le champ des possibles. Tous les possibles. Ceux offerts par les images de synthèse en 3D et les médias numériques dans le domaine des NFT, du Net Art, de l’impression, de la sculpture, de l’installation et de l’AR/VR. Rien que ça. Considérée comme une « pionnière dans le monde de l’art numérique » par l’International Herald Tribune, elle a notamment acquis une renommée internationale grâce à sa collection de #arthacks, devenue virale avec des millions de vues.

Véritable icône de l’art numérique avec plus de 37 ans d’expérience, elle expose en 1984 sa première animation informatique réalisée sur un Commodore 64. Depuis lors, sa passion et son intérêt pour l’art n’ont cessé de croître. Elle tire une certaine forme d’ingéniosité artistique de son pays d’origine, l’Iran, et notamment des peintures Qajar, parties intégrantes de ses sources d’inspiration de prédilection.

Exposée dans des galeries et des musées prestigieux, y compris le Smithsonian Museum, la notoriété de Marjan Moghaddam ne s’est jamais démentie. Ses œuvres ont été présentées sur d’autres supports, notamment dans des documentaires tels que « BBC Click Art Goes Digital » et « Proof of Art : History of Digital and NFT Art ». Reconnue pour son style unique de figuration/animation post humaine et pour son discours critique, elle a également été sélectionnée pour le déploiement d’objets de collection numériques par Meta/Facebook.

Réfugiée politique aux Etats-Unis, elle connaît l’importance de la transmission. C’est donc avec cette ambition qu’elle enseigne l’art numérique à l’université de Long Island, afin que les jeunes générations d’artistes puissent, eux aussi, bénéficier de son indiscutable expérience.