Au départ, Mark Knol, c’est un développeur de jeux chez Media.Monks, passionné de programmation, d’arts et de guitare. Il commence à faire de l’art génératif vers 2008, à l’époque où Flash et ActionScript étaient à la mode. Sensible à l’environnement et aux critiques inhérentes au minage et à la validation des transactions, les NFTs à leurs balbutiements ne lui parlent guère. Mais sa rencontre avec Mario Klingemann et Matt DesLauriers, avec leurs NFT peu gourmands en énergie, change la donne.

Devenu l’un des artistes les plus populaires de la communauté d’art génératif Tezos, ses Smolskulls sont partout. Une histoire amusante ces Smolskulls. Loin de saisir à l’origine l’attrait des « projets PFP », il réalise dans un second temps qu’ils peuvent être le reflet d’une touche personnelle artistique sincère. Le sien ? Ce sera un crâne pixelisé, avec sa tête arrondie pour en faire un mélange de pixel art et d’art vectoriel. Pour cela, il utilise une petite poignée de couleurs, mais de la variété et de belles expressions faciales.

Au cours de la dernière décennie, Mark a produit et contribué à des centaines de projets open source, notamment des contributions notables pour la communauté Haxe. Il a produit une grande variété d’arts génératifs et s’est classé parmi les 20 premiers artistes sur hicetnunc et fxhash. Il a également créé des projets, des jeux et des travaux primés au niveau international pour des marques telles que Google, Red Bull, Amazon, Pandora, Netflix, McLaren pour ne citer qu’elles.