Artiste écossais né en 1981 et membre du collectif artistique Ltd Ink Corporation, Norman Harman se distingue par son incroyable créativité dans les domaines de la peinture, de la photographie et de l’art numérique déconstructif. Une passion pour l’art qui s’épanouit dès l’Edinburgh College of Art, où il obtient son diplôme en 2001. Loin de ceux pour qui le temps semble long, sa carrière artistique décolle immédiatement. Première exposition en 2001. Norman Harman, dit Norrie, expose pour la première fois à Édimbourg. Là, il reçoit le prix Latimer de la Royal Scottish Academy qui récompense un jeune peintre écossais exceptionnel. Après cette prestigieuse distinction, Norman Harman consolide sa position dans le monde de l’art et acquiert une reconnaissance internationale. Au fil des années, il développe son propre studio et pratique son art dans le nord de l’Angleterre, avant de revenir s’installer à Édimbourg en 2015. En tant que déconstructeur visuel numérique, Harman crée une série de collections artistiques uniques au cours de sa « pas si jeune » carrière. Il utilise un algorithme spécialement développé pour corrompre délibérément des fichiers numériques, révélant ainsi la beauté des transmissions perdues et de l’imagerie altérée. Il explore l’interférence discordante entre la peinture et le numérique, créant des représentations faussement déformées qui suscitent réflexion et interprétation. L’art de Norman Harman, souvent décrit comme « peintures éclatées », se caractérise par son utilisation audacieuse du pinceau numérique, créant ainsi des compositions semblant corrompues aux yeux de chaque spectateur. Son travail est salué de tous. Pour sa complexité, son originalité et sa capacité à mêler beauté, déconstruction, flou, rareté et sujets d’actualité. Reconnu comme l’un des artistes les plus rentables dans le domaine du CryptoArt, ses œuvres ont été exposées au Royaume-Uni et en Europe. Un artiste dont le monde n’a pas fini de parler et dont les récentes collaborations incluent Robness Cyberpop, Irvine Welshou encore Anton Newcombe.