Artiste NFT versatile originaire de Los Angeles, Robness est de ceux qui ont fait couler beaucoup d’encre…ou disons de pixels. Car, au-delà d’être l’un des premiers et plus grands vendeurs internationaux de NFT, c’est aussi le seul à avoir vu son œuvre retirée puis réintégrée dans l’univers du Crypto Art. Retour sur le parcours de celui qui a lancé le mouvement #trashart.

Robness précurseur. Aux débuts du mouvement Crypto Art, il lance ses premier NFTs sur Bitcoin, avec un protocole de couche de tokenisation : Counterparty. A la suite de cela, il ne cessera d’afficher « Présent ! ». La première scène Crypto Art est lancée dans le monde : « Présent ! », il fait partie de la bande RARE PEPE qui en est à l’origine. Les premiers jeux vidéo inter-plateformes voient le jour : « Présent ! », il prend part aux premiers tests. Le phénomène d’échange de cartes PEPE CASH voit le jour, ici encore il est là comme l’un des premiers artistes contributeurs. Puis vient 2020. L’année de la controverse, lorsqu’il devient une figure contestée, et l’un des deux artistes (l’autre étant Max Osiris) retirés de la plateforme de curation SuperRare.com, pour un litige concernant des droits d’auteur.  Placé au centre des discussions, Cointelegraph lui consacre un article et met l’accent sur le débat concernant les plateformes centralisées et la censure au centre des communautés artistiques crypto/blockchain.

Robness artiste influent. Il donne naissance à un mouvement « Trash art/Trash gif », devenu un appel de ralliement envers tout acte de censure dans l’écosystème. Aujourd’hui, il se consacre tout entier au « Cavewave » ou « Expressionnisme post-historique », où arts primitifs et super-future entrent en collision… pour mieux se lier.